Il est impossible de se rendre au domaine de Villarceaux
(voir article consacré sur le blog - visite gratuite)
sans passer avant par La Roche-Guyon pour faire son arrêt
soit dans un établissement prévu à cet
effet, soit encore mieux son pique-nique sur la pelouse très
Large et très accessible qui borde la Seine.
Situé en contrebas des versants du plateau du Vexin sur la rive
droite d’un méandre de la Seine, le village est réputé pour son
château, propriété des La Rochefoucauld, dominé par un donjon
médiéval. Le lieu, classé parmi les plus beaux villages de France
(c'est la seule commune francilienne à bénéficier de ce label),
est devenu au XIXe siècle un centre de villégiature et a vu
défiler de nombreuses célébrités des arts et des lettres.
La Roche-Guyon est située dans le sud-ouest du Val-d’Oise, aux
confins de l’Île-de-France et de la Normandie, à la jonction
des trois départements du Val-d’Oise, des Yvelines et de l’Eure.
Le potager
Situé dans le creux d’un méandre de la Seine, sur la rive droite
du fleuve, au pied d’une paroi crayeuse escarpée qui délimite
le rebord du plateau du Vexin français.
Au sommet d'un promontoire abrupt, dominant la rive du grand
fleuve de Seine, se dresse un château appelé La Roche-Guyon. Invisible à sa surface, il se trouve creusé dans une haute roche.
L'habile main du constructeur a ménagé sur le penchant de la
montagne, en taillant la roche, une ample demeure pourvue
d'ouvertures rares .Taillé à même la roche, un étroit boyau lance ses 250 marches à l'assaut du donjon dressé depuis près d'un millénaire sur la falaise.
Vers 1190, un donjon est édifié relié au château par un
escalier souterrain d'une centaine de marches creusé dans
le flan du plateau ; il domine les vallées de la Seine et
de l'Epte, dans une position stratégique exceptionnelle.
Au XIIIe siècle, est construit le manoir d'en bas qui fait
ec le donjon une remarquable forteresse double.
Les boves, (maisons troglodytes) qui constituent des
refuges commodes, sont généralement habitées par
les paysans et leurs animaux, qui procurent la chaleur
animale. Leur nom proviendrait d'ailleurs du latin bovis,
bovins, ou peut-être de bover, qui signifie creuser en vieux français
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