Il meurt à Paris le 15 septembre 2012
Un grand comédien nous a quitté, une grande carrière, cinéma, théâtre....
Pour tous, lorsque l'on prononce son nom : Pierre MONDY - égal - la 7ème compagnie
qui nous a fait, et nous fera encore pour longtemps, bien rire.
avec AFP
- Publié le 15.09.2012 à 00:00
- Mis à jour le 29.01.2014 à 13:39
L'acteur et metteur en scène Pierre Mondy, âgé de 87 ans, est mort ce samedi à l'hôpital de la Pitié-Sapêtrière des suites d'une récidive d'un lymphome, a annoncé son attachée de presse à l'AFP.
Pierre Mondy, c'était l'inamovible commissaire Cordier pour des millions de Français qui ont suivi cette série sur TF1. Mais avant cette série, Les Cordier père et fils, qui a définitivement assis sa popularité, Pierre Mondy avait multiplié les téléfilms et films populaires avec plus ou moins de succès. On retiendra notamment Le Triporteur, tourné en 1957 et surtout son rôle dans la trilogie de la Septième compagnie, où il interprétait l’inénarrable sergent-chef Chaudard.
Carrière prolifique au théâtre
Pierre Mondy était aussi un homme de théâtre: il a mis en scène une soixantaine de pièces dont la célèbre Cage aux folles. Il a dirigé des monstres sacrés tels que Jacqueline Maillan, Jean Poiret ou Michel Serrault dans des pièces de Feydeau, Achard, Guitry, Francis Veber, Neil Simon. Lui-même a beaucoup joué sur les planches, faisant notamment les belles heures d’ «Au théâtre ce soir».
Pierre Cuq, dit Pierre Mondy, né le à Neuilly-sur-Seine et mort le à Paris, est un comédien et metteur en scène français.
Son père est le directeur de l'externat Saint-Joseph, sa mère en est l'économe.
Il effectue ses études secondaires pendant la Guerre au lycée Lapérouse d'Albi jusqu'à l'obtention de son baccalauréat.
il s'inscrit en 1946, au cours Simon
débute comme doublure au théâtre en 1948 avant d'obtenir un petit rôle au cinéma dans Rendez-vous de juillet (1949) - dans ce film, il tourne avec Louis de Funès,
qu'il retrouvera à plusieurs reprises au cinéma, et notamment sous la direction d'Yves Robert dans Ni vu, ni connu en 1957.
Il le mettra aussi en scène dans Oscar au théâtre du Palais-Royal en 1972
Au cinéma, il obtient la reconnaissance internationale en 1960 pour son rôle de Napoléon Bonaparte dans Austerlitz d'Abel Gance, une prestation qui lui permet de montrer une facette plus dramatique de son talent
...
Dans les années 1970, il poursuit sa carrière cinématographique le plus souvent dans des comédies populaires telle la trilogie de la 7e compagnie de Robert Lamoureux,
...
En juillet 2009, il est hospitalisé à la suite d'un malaise, et les médecins diagnostiquent un lymphome, qui est soigné en février 2010. Il meurt à Paris le , à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, des suites d'une récidive du lymphome.
Ses obsèques ont lieu cinq jours plus tard à l'église Saint-Honoré-d'Eylau de Paris,
en présence de nombreuses personnalités du monde du cinéma et du théâtre10. Il est ensuite inhumé au « Cimetière nouveau » de Neuilly-sur-Seine
Il a été marié quatre fois, en premières noces le avec l'actrice Claude Gensac (divorce le ) ; en deuxièmes noces avec l'actrice Pascale Roberts le 25 octobre 1957 et ils ont divorcé quelques années plus tard ; en troisièmes noces avec l'actrice Annie Fournier le 16 décembre 1967 qui lui donnera deux enfants, Laurent et Anne. En quatrièmes noces, il épouse, à Cannes, le , l'actrice Catherine Allary.
- Le succès du film a amené deux suites :
- – 1975 : On a retrouvé la septième compagnie de Robert Lamoureux ;
- – 1977 : La Septième Compagnie au clair de lune de Robert Lamoureux.
- Robert Lamoureux a écrit son film en se basant sur une partie de son histoire personnelle vécue pendant la débâcle de juin 1940.
- Comme dans les autres films qu'il a réalisés, Robert Lamoureux joue un rôle dans Où est passé la Septième compagnie ?, celui d'un personnage secondaire, le Colonel Blanchet.
- Le scénario situe les héros dans la forêt de Machecoul (Loire-Atlantique). En réalité, le film n'a pas été tourné à Machecoul ; la majorité des scènes ont été tournées dans le sud de la région parisienne, dans les Yvelines et en Essonne, dans les environs deCerny et La Ferté-Alais, ainsi que vers Jouars-Pontchartrain et Rochefort-en-Yvelines. La célèbre scène de l'épicerie a quant à elle été tournée à Bazoches-sur-Guyonne.
- Les blindés allemands sont en fait des modifications en contreplaqué sur la base du char américain M24 Chaffee, les semi-chenillés sont maquillés sur la base des Halftracks américains de la Seconde Guerre mondiale de type M3. Celui « emprunté » par Chaudard et ses hommes est un M3 sur lequel a été greffé un canon antichar PaK 36.
- La scène du combat aérien de Duvauchel a été très probablement tournée près de La Ferté-Alais, où se situe la collection d'avions anciens de Jean Salis. Comme il n'existait plus aucun avion de chasse français de 1940 en état de vol, ce sont plusieurs North American T-6 Texan, avion d’entraînement militaire américain de 1937, qui tiendront lieu d'avions français (probablement un Bloch MB.152) et de ses adversaires allemands (probablement des Messerschmitt Bf 109), grâce à des peintures de camouflage et marquages adéquats. On notera également l'apparition furtive d'un Messerschmitt Bf 108 Taifun construit sous licence en France dans l'immédiat après-guerre par la SNCAN.
- La scène finale du parachutage est basée sur un fait réel : des parachutistes SAS français furent parachutés en Bretagne par groupes de trois, dès la nuit précédant le débarquement du 6 juin 1944 et les jours suivants, pour neutraliser le réseau ferré bretondans le cadre du débarquement en Normandie. Avec cette réserve que les héros du film sautent en plein jour et sont vêtus d'uniformes américains, alors que les paras de la France libre, intégrés dans les SAS, étaient équipés d'uniformes anglais et sautaient de nuit.
source wikipédia
Il est marrant l'chef, y glisse, y dit qu'c'est nous ...
JUSTEMENT chef, pour la nage, comme vous faîtes, là, la main c'et comme ça, ou comme ça ?
Il va aussi y avoir la question de trouver à manger, chef
vous avez p'têtre une préférence pour le saucission, mon lieutenant : sec ou à l'ail ?
si je connaissais l'con qu'à fait sauter l'pont !
commenter cet article …