Coût de la construction: 98 millions de Livres, soit 980 millions d'€,
en se basant sur le chiffre proposé dans un article précédent
(budgets comparés de la France sous Louis XVI et la République)
10€ pour une livre, ce qui est largement surévalué.
A TITRE DE COMPARAISON :
Période contemporaine.
Budget du seul Palais de l'Elysée: 112 millions d'€ (2010) .
Construction de l'Opéra Bastille: 427 millions d'€ +530.000 € pour la pose de filets anti-chutes de matériaux (22 ans après son inauguration), + 12 millions d'€ pour sa mise aux normes. (toujours 22 ans après son inauguration!).
Arche de la Défense: 442 millions d'€ + 1 million de réparation
d'ascenseurs(le toit est dorénavant interdit au public !).
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Vue du château d’Etiolles avant sa destruction.
Le château d'Étiolles a été la résidence
de Mme de Pompadour depuis son mariage, jusqu’à quand elle s’installa à la cour.
Il avait été vendu à Charles le Normand le 12 décembre 1684 par Marie Lorthon,
restés veuve. Situé sur le bord droit de la Seine et confinant avec le foret de Menars,
où le roi allait à chasse. Dans le même foret Jeanne Antoinette se fit noter par le
roi pendant la chasse. Depuis le mariage, le château fut équipé d’un théâtre privé,
où Jeanne Antoinette fit ses premières représentations théâtrales.
Madame de Pompadour fait de fréquents séjours à Choisy à partir de 1746, et aura un appartement au premier étage au-dessus de celui du roi.
Louis XVI utilisera de moins en moins Choisy jusqu'à ordonner son démeublement en 1787. Pendant la Révolution, le château devient bien national, le roi conservant à son usage le Petit château. Il semble qu'un marchand de matériaux se porte acquéreur de certains lots afin d'en extraire les matériaux les plus vendables. Ne réglant pas son acquisition, il en est chassé.
Les précieux décors intérieurs n'auraient été démantelés que sous l'Empire, époque bien indifférente aux boiseries Louis XV dont on ne retrouve pas la trace.
Le déclin et la destruction, du xixe siècle au XXe siècle
Dépouillés, les bâtiments abandonnés tombent progressivement en ruine et seront emportés par l'installation du chemin de fer d'Orléans en 1839. Les beaux communs de Gabriel seront utilisés par la faïencerie Boulenger jusqu'à sa fermeture et ne disparaîtront que dans les années 1960, avec les vestiges du Petit château alors retrouvés par Georges Poisson. Conservateur du musée de l'Île-de-France, ce dernier, après une campagne de presse, propose à la ville le transfert des façades du Petit château dans le parc de Sceaux (à l'instar de celles du pavillon de Hanovre). La municipalité, après de longs atermoiements, ne donnera pas suite à cette proposition de sauvegarde. Elle ne s'opposera pas à la destruction de ces vestiges afin de laisser s'édifier un grand projet d'urbanisme inspiré des théories de Le Corbusier
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Construit par Louis Luigi XV sur les ruines de l’ancien château qu’il avait fait démolir. La majorité du matériau de construction fut pris de l’aqueduc inactive de Maintenon, fait construire par Louis XIV.
Il est donné à Madame de Pompadour en 1746. Mme de Pompadour le fit agrandir et embellir. En outre elle fit construire un hôpital-asile de vieillards pauvres tout près. Plus tard Madame de Pompadour vend le domaine au duc de Penthièvre, qui le revend en 1775 au prince de Montmorency.
En 1793 le domaine fut vendu parce qu’il appartenait aux émigrés et le château fut détruit. Des "boiseries" furent achetées par un restaurateur et servirent comme revêtement des maisons construites à Dreux.
Le château avait coûté environ 38 millions de Livres.
En 1753, Louis XV achète l'hôtel d'Évreux(aujourd'hui, Palais de l’Élysée)
et l'offre à son amie
La vente a lieu au Châtelet de Paris. M. Lenote est curateur, Me Melin, notaire ;
une estimation est faite par l'architecte Desmaisons, elle se monte à 730 000 livres
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Cette petite maison de plan carré est construite à côte du château de Fontainebleau en 1749, sur ordre de Louis XV. (De A.J. Gabriel, en Boulevard Magenta).
Le rez-de-chaussée comprend une salle à manger, un salon et un cabinet. L'attique abrite deux petits appartements, destines à Madame de Pompadour et à Madame d'Estrades.
En 1755 le pavillon est agrandi pour accueillir une salle à manger et un corridor qui le relie aux communs.
Une très grande attention est accordée à la disposition des jardins et des cours extérieures. Dans ce petit domaine complet, Madame de Pompadour élève poules et pigeons.
le pavillon de l’Hermitage à Fontainebleau à partir de 1754, qui possède des jardins dessinés par Lassurance
. Le 30 juin 1760 - la marquise de Pompadour fait l'acquisition, par acte passé devant Maîtres Alleaume et Delamanche, notaires à Paris, du château et du marquisat de Menars, de la terre de Nozieux et de toutes leurs dépendances, propriétés de Mesdames de Lastic et de Castellane. Le montant total de ce vaste domaine s’élève à 880 000 livres
Jeanne-Antoinette Poisson, marquise de Pompadour, duchesse de Menars, née le à Paris et morte le à Versailles, est une dame de la bourgeoisie française devenue favorite deLouis XV, roi de France et de Navarre.
Le 23 février 1745 est célébré le mariage religieux du fils du roi, le dauphinLouis-Ferdinand, avec l'infante Marie-Thérèse d'Espagne. Des fêtes sont organisées pendant huit jours pour cet événement. Le 25 février a lieu dans la Galerie des Glaces au château de Versailles, un bal masqué où est invitée Jeanne-Antoinette, sous l'apparence de Diane chasseresse. Le roi et ses plus proches courtisans sont costumés en ifs et la cour observe que l'un d'entre eux s'entretient longuement avec cette belle inconnue. Les conversations se cristallisent autour de ce couple et l'on pense reconnaître le souverain. La scène est immortalisée par le peintre Charles-Nicolas Cochin et « ceux qui prononcent à mi-voix le nom de Mme d'Étiolles croient à un simple caprice » Trois jours plus tard, le 28 février, au cours du bal offert à l'Hôtel de ville de Paris par le corps municipal, nouvelle rencontre entre Madame d'Étiolles et le roi Louis XV13.
La légende veut que la marquise de Pompadour eut une passion pour la soupe de truffes et de céleri, arrosée de tasses de chocolat ambré. Ces aliments avaient la réputation d'être aphrodisiaques, « échauffant les esprits et les passions ».
Grande amatrice de champagne, dont Madame de Pompadour aurait dit, selon la légende, qu’il est « le seul vin qui laisse la femme belle après boire », elle favorisa sa consommation à Versailles (il avait été introduit à la cour sous la Régence). Une légende veut que la première coupe à champagne ait été moulée sur son sein5
À partir du 16avril1982 diffuse, sur la même chaîne, une deuxième série sous le titre Joëlle Mazart, en six épisodes de cinquante-deux minutes et, dès le 12janvier1989, sous le nouveau titre Pause-café, pause tendresse, en huit épisodes de quatre-vingts minutes.
Synopsis
une jeune femme Joëlle Mazart exerçant la profession d'assistante sociale en milieu scolaire gagne, dans la première saison, la sympathie des élèves d'un lycée de banlieue en leur offrant son écoute autour d'une tasse de café. Elle est face à un nouveau défi, dans la seconde saison, en convainquant les élèves d'un Lycée d'enseignement professionnel qu'ils n'ont pas été orientés vers une voie de garage. Dans la troisième saison, mariée et mère de famille, elle tente de concilier sa vie de famille et sa vie professionnelle.
C'est Véronique Jannot qui chante le générique du premier Pause-café, alors que c'est Michèle Torr qui chante le générique de Joëlle Mazart qui s'intitule Ceux du parking avec des paroles de Georges Coulonges et une musique de Didier Barbelivien, D. Vasseur et J.Albertini.
Jean-Baptiste et Louise sont paysans sur la ferme du Champ-Dolent. Des années 70 jusqu'à nos jours, ils vont vivre l'exode rural, la révolution agricole qui transforme peu à peu les paysans en agriculteurs et les fermes en exploitations agricoles...
Le menhir de Champ-Dolent est le plus important menhir dressé de Bretagne.
Situé sur la commune de Dol-de-Bretagne, il mesure près de 10 m de haut.
Près de Dol se trouve le menhir du Champ Dolent. On dit qu’en ces lieux, une terrible bataille fut livrée entre deux frères et leurs armées. On dit aussi que ce combat fratricide fit couler tellement de sang que les flots versés suffirent à faire tourner la roue du moulin du vallon. On dit enfin que le menhir serait sorti de terre pour séparer les deux frères et mit fin à l’hécatombe
La réalité :
Le menhir du Champ Dolent : un exemple de christianisation réussie.
Le menhir du Champ Dolent est de dimensions impressionnantes.
9m30 du sol au sommet pour une circonférence de 8m70
à sa base et un poids estimé à 100 tonnes. Il daterait
du néolithique. Il pourrait venir du Mont-Dol à quelques kilomètres de là. Le menhir a eut la chance de faire l’objet d’une christianisation.
Chance car pour les symboles païens les options se résument
souvent à christianisation ou destruction. Différentes images du
19ème nous montrent qu’une croix coiffa un temps le menhir.
Un témoignage de ce siècle nous apprend que cette croix
« succède à bien des autres depuis bien des siècles ». Par
ailleurs (au moins) deux légendes font du menhir un symbole
du divin. Notre légende, où nous avons vu que des variantes
en font une intervention divine, et la légende de la cathédrale
de Dol qui symbolise la victoire de l’église sur le Diable.
Enfin la croyance est aussi liée à la religion puisqu’elle
fait référence au jugement divin. Voici donc un bel exemple
de christianisation d’un lieu de culte celtique.
DOL DE BRETAGNE
LE MONT DOL :
UN AN DE TRAVAIL SUR «LE CHAMP DOLENT»
«Le Champ Dolent» a représenté un an de travail à temps plein pour G. Boutemy qui a cumulé différentes fonctions sur cette réalisation : conseiller animalier, régisseur d’extérieur et conseiller agricole. «Je devais trouver les véhicules, les objets adaptés aux différentes époques du film qui s’étale de 1914 à nos jours. Du fumier dans la cour à l’aménagement de gîtes en passant par le tracteur de 1950 et la stabulation de 1970.» Son rôle allait même jusqu’au casting des animaux et des quelque 300 «figurants techniciens», c’est-à-dire ceux qui devaient conduire les animaux, ramasser le blé, manipuler des outils... «J’avais un portefeuille à gérer».
Il continue : «106 vaches différentes ont été sélectionnées pour le film. Pour l’époque de 1914, j’ai fait appel à un éleveur de petites bretonnes Pie noire avec des cornes. J’ai trouvé Rosalie, la Jersiaise mascotte du vacher dans le film, dans les Monts d’Arrée. Pour 1950, il m’a fallu chercher un troupeau de Normandes avec des cornes.»
H. Baslé, soucieux de l’exactitude, a aussi demandé des conseils techniques à l’éleveur pendant l’écriture du scénario. «A un moment, il faut couper les cornes des vaches. J’ai exposé à H. Baslé trois méthodes (acide, cable ou scie), il a opté pour la troisième et un professionnel est venu réaliser l’opération sur le tournage.»
Pour mener à bien ses responsabilités, G. Boutemy dispose d’un véritable réseau en toile d’araignée, «des gens sur qui on peut compter». Il a notamment fait appel à Jo- seph Gautier, un producteur de lait d’Argentré-du-Plessis, village où se situe la ferme du «Champ Dolent». Ce dernier se rappelle du jour où il a utilisé son tracteur pour dégager les voitures embourbées, ou encore quand il a amené de la paille pour que l’équipe de tournage puisse accéder au chemin boueux. Les joies de la Bretagne sous la pluie.
L’agriculteur se remémore aussi la bonne humeur pendant le tournage. «Au début, nous appréhendions tous la rencontre entre nos deux mondes à priori opposés : l’agriculture et la télévision». Finalement, il n’y a pas eu de scission, au contraire. «Toutes les semaines, on trouvait une occasion de faire la fête autour d’un mouton grillé ou de «moules frites»...» J. Gautier annonce fièrement la représentation de sa famille dans le film : 4 générations ont joué.
G. Boutemy a aussi demandé de l’aide à Henri Morel, producteur de lait et de porc à St M’Hervé. Ce dernier a prêté une trentaine de vaches Prim’Holstein et sa chienne de ferme «Yquem». Les agriculteurs, impressionnés notamment par l’efficacité de l’équipe, par les cascades, les décors, gardent un excellent souvenir de cette expérience. D’autant plus qu’Hervé Baslé dresse un portrait objectif et respectueux du monde agricole au fil des ans. Dixit les figurants qui ont eu le privilège de voir le film en salle il y a quelques mois.
UN MESSAGE VRAI
«Nous avons participé à l’opération avec notre cœur car le message véhiculé vers le grand public était plein de vérité», conclut G. Boutemy en évoquant vaguement un autre projet dans le cinéma pour le début de l’année prochaine. «Rien à voir avec l’agriculture cette fois.» Mais... «Silence, on tourne».
Récits croisés de la vie paysanne sur un siècle
Le «Champ Dolent» est une prairie où se dresse une pierre levée. «Un champ de la douleur qui a vu pleurer tant de monde. La pluie l’a moins arrosé que le chagrin des pauvres gens qui ont trimé dessus». La série télévisée d’Hervé Baslé s’articule autour de la vie complète d’un agriculteur : Jean-Baptiste, le narrateur du film. Le spectateur navigue du présent au passé. «Vue dans le souvenir, l’histoire prend une dimension plus forte et le présent vibre des échos du passé.»
Le réalisateur mêle dans son histoire la rudesse des vies paysannes d’antan, la révolution terrienne, la fierté des agriculteurs pour leur métier et les secrets de famille. Le réalisateur a souhaité donner un ton juste à ce «roman de la terre». «La valeur documentaire sert de fond à l’histoire, comme un décor.»
À partir de 1653, il fait bâtir un magnifique château à Vaux-le-Vicomte (actuelle commune de Maincy). Le domaine, acheté avant son accession à la surintendance, n'est que friches au milieu desquelles est construit un vieux château. Fouquet commence par racheter méthodiquement les terres alentour : l'ensemble du domaine représente, à terme, plus de 200 contrats, certains achats ne portant que sur quelques arpents de terre38. Il fait raser le village de Vaux, quelques autres hameaux et bois, détourner une rivière et arracher des vignes. En outre, des travaux d'adduction d'eau sont réalisés.
Le 11juillet1661, il reçoit une nouvelle fois la Cour. Louis XIV n'ayant pu assister à la fête, une autre est donnée le 17 août pour le monarque accompagné de ses 600 courtisans. Elle est somptueuse, avec jets d'eaux, feux d'artifice, ambigu (buffet) donné pour plus de mille couverts et supervisé par François Vatel et création de la pièce de MolièreLes Fâcheux. Louis XIV, est furieux de voir tant de splendeur alors que ses propres demeures sont vides. L'origine de tant d'argent lui paraît suspecte. L'offre de Fouquet de lui donner Vaux ne fait que l'irriter davantage. Selon l'abbé de Choisy, Louis XIV aurait déclaré dans le carrosse qui le ramène à Paris à Anne d'Autriche : « Ah, madame, est-ce que nous ne ferons pas rendre gorge à tous ces gens-là ? »
Né à paris en 1615, mort à la forteresse de Pignerol en 1680, Nicolas Fouquet est le fils d’un riche armateur breton qui avait été conseiller d’État et maître des requêtes.
Fouquet, remarqué par Richelieu, entre en tant que conseiller au parlement de Metz à l’âge de seize ans. En 1635 il devient maître des requêtes : il a à vingt. A la mort de Richelieu en 1642, il passe au service de Mazarin. C’est en 1650 qu’il achète la charge de procureur du roi au parlement de Paris. La protection d’Anne d’Autricheet de Mazarin lui vaut la charge surintendant des Finances ordinaires et extraordinaires en 1653. A la mort de Servien, autre surintendant en place en 1659, Nicolas Fouquet devient l’homme le plus puissant de France après Mazarin.
Pour bien comprendre comment Fouquet a pu s’enrichir, il faut savoir que les caisses du royaume sont au plus bas (suite à la guerre de Trente Ans, contre l’Espagne et à la Fronde). Les dépenses de l’État sont compensées par des billets assignés par un trésorier de France à l’une des fonds de l’Etat, par exemple une ferme.
Fouquet va commettre deux fautes qui vont précipiter son arrestation : son attitude pressante envers Mlle de La Vallière, maîtresse du roi et la fête fastueuse qu’il va donner à Vaux-le-Vicomte en l’honneur de Louis XIV le 17 août 1661. La réception est somptueuse, 80 tables, 30 buffets sont dressés, 6000 assiettes et 400 plats en argent. La table du Roi est garnie d’un service en or massif. Après le repas préparé par Vatel, les divertissements ont lieu dans les jardins. 1200 jets d’eau animent la fête ainsi que des concerts de musique, des joutes sur l’eau, des loteries où tous les numéros sont gagnants et une comédie jouée par Molière et sa troupe : « Les Fâcheux ». Un feu d’artifice termine le tout.
Cette fête ne sera très certainement pas la cause majeure de l’arrestation de Fouquet, mais elle y contribuera car le roi quitte Vaux le Vicomte vexé et irrité d’avoir vu tant de richesses étalées par un de ses sujet. Le 5 septembre 1661, il est arrêté par les mousquetaires du sous-lieutenant Charles Batz-Castelmore, sieur d’Artagnan à Nantes.
Le roi nomme une chambre spéciale composée surtout d’ennemis de Fouquet. Le procès va durer trois ans, Colbert et le roi vont utiliser tous les moyens possibles pour l’abattre : falsification de documents, corruption de juges, isolement total du prisonnier, à qui on refuse tout moyen de défense. L’opinion publique est aussi contre lui. Sa richesse, sa puissance lui ont suscité beaucoup d’envieux : il passe pour être l’affameur du peuple.
Fouquet se défend, conteste ses juges, fait paraître des mémoires justificatifs. Face à l’acharnement du pouvoir, l’opinion se retourne, et l’accusé devient martyr de l’absolutisme, les juges Lamoignon et d’Ormesson refusent d’obéir. Corneille, La Fontaine, Mme de Sévigné mettent leur plume au service de Fouquet. Le 20 décembre 1664, après des réquisitoires qui soulèvent l’indignation par leur ton haineux, l’accusé est condamné au bannissement perpétuel.
Louis XIV qui visait la peine de mort, use de son droit régalien pour aggraver la peine. Il transforme le bannissement en une réclusion à perpétuité. Il est conduit à la forteresse de Pignerol, enclave fortifiée française en Piémont où il survivra vingt ans.
Nicolas Fouquet a été rendu coupable d’avoir fait ce que tant d’autres avaient fait avant lui. Il fut le dernier surintendant des Finances de la monarchie ; en l’abattant, Louis XIV affirmait la puissance du roi face aux grands seigneurs
Les inconditionnels de l’interprète de La Fille d’Avril ont rendez-vous le vendredi 25 janvier 2013 à 22h30 sur France 2 pour découvrir son concert enregistré en décembre dernier à l’église Saint-Eustache.
Un nouveau numéro des Concerts Uniques de France Télévisions arrive dans quelques jours sur le petit écran. Après Bénabar au musée des arts forains, Cœur de Pirate au Petit Palais ou Julien Clerc à l’Opéra de Paris, c’est au tour d’un autre artiste français de prendre possession d’un lieu parisien pour un concert unique.
Le groupe audiovisuel français a cette fois-ci misé sur Laurent Voulzy, le mythique interprète de Rockollection ou Le Pouvoir des fleurs. Le chanteur a fait un détour, en pleine tournée consacrée à son dernier album Lys and Love, les 17 et 18 décembre dernier à l’Eglise St-Eustache à Paris.
Ce concert proposera aux inconditionnels du chanteur de découvrir ses nouvelles chansons et ses anciens tubes le tout entrecoupé d’interviews du chanteur.
Pour trouver un bout d’organe viable, le policier marseillais doit reprendre contact avec son père, interprété parPatrick Chesnais (Le Scaphandre et la Papillon, Le Code a Changé...) avec qui il était en froid depuis plusieurs dizaines d’années. Mylène Demongeot (Angélique, 36 Quai des Orfèvres…) fera également un petit tour par les docks de Marseille pour rencontrer son fiston, tandis que ce dernier sera aux prises avec Claude Brasseur(Fauteuil d’orchestre, Camping…), un trafiquant de faux billets.
La série créée par Luc Besson
avec Vincent Elbaz et Tchéky Karyo va faire
un retour musclé dont on ne sortira pas indemne
La série qui avait connu un franc succès lors de son lancement il y a quelques mois, revient pour une saison inédite de 8 épisodes.
L'agent Vincent Libérati doit composer avec un nouveau partenaire au sein d'Hydra...
qui n'est autre que Bertrand, le futur mari de son ex-femme Alexandra ! Une cohabitation
houleuse en perspective entre ces deux rivaux.
Vincent devra jongler entre ses missions à haut risque, la crise d'adolescence de sa fille Lola,
les investigations périlleuses d'Alexandra autour de Koskas... sans oublier les enquêtes de
sa soeur, le commissaire Juliette Libérati, convaincue qu'une cellule officieuse des services
secrets oeuvre dans l'ombre contre le crime organisé !
Dans la saison 2...
Rapidement commandée après le beaux succès des premiers épisodes diffusés sur TF1, la deuxième saison de No Limit a été tournée au printemps dernier et arrivera à l'antenne dans quelques semaines, un an après la diffusion de la première, une rareté à la télévision française. Voilà ce que Franck Philippon a bien voulu nous confier sur la suite des aventures de Vincent et son entourage : "Sur la deuxième saison, on s'est permis d'utiliser la même boîte de jeu que lors de la première, mais en changeant un petit peu les règles. C'est ce qui est amusant quand ont travaille sur une série qui dure. D'un seul coup, on a Juliette qui court après son frère, Vincent, sans savoir que c'est lui. Cela justifie d'abord qu'ils se croisent un peu plus, et c'était une nécessité pour que leurs chassés-croisés ne paraissent pas artificiels. Et ça permet également d'avoir des scènes encore plus truculentes et de donner à Anne Girouard des scènes plus tendues à jouer. Alex, la femme de Vincent, se retrouve quant à elle à travailler autour du trafiquant qui est dans le colimateur de Vincent. Donc elle aussi se retrouve impliquée."
source : Allociné
la saison 3 actuellement, qui aura encore un peu plus d'épisodes que la 2ème (ndlr : qui en contient 8), et on rechange à nouveau certaines régles, afin de surprendre le public et renouveler notre propre plaisir à écrire aussi."
La série reposant en grande partie sur les secrets de Vincent, on a demandé à son créateur combien de temps il pouvait encore les garder : "Evidemment, plus le temps avance, plus un certain nombre de personnages commencent à découvrir tout ou partie des secrets de Vincent (...) j'ai déjà la saison 4 à peu près en tête. La saison 3 est née d'une conversation avec Vincent Elbaz autour d'une thématique et d'un pan du personnage qui l'intéressait. On se nourrit de ce que les comédiens ressentent. Cela nous inspire en retour. Tout n'est pas plannifié dès le départ. Je ne sais pas combien de temps la série va durer. Elle n'est pas infinie étant donné la santé de Vincent, mais j'ai encore des idées pour plusieurs saisons en tout cas."
retour sur lasaison 1
No Limit est une série télévisée familiale française, mêlant la comédie et l'action, créée par Luc Besson. Elle est déjà diffusée en Belgique depuis le 5novembre2012 sur RTL TVI. En France, la série est diffusée depuis le15novembre2012 sur TF11. Les deux derniers épisode de la série étaient diffusés le 29 novembre en France.
Vincent, agent à la DGSE est atteint d’une maladie incurable. Il est contacté par un département secret qui lui propose un traitement expérimental en échange de missions spéciales sur le territoire français, qu’il accepte pour se rapprocher géographiquement de sa fille de 16 ans, de son ex-femme et de sa sœur, flic à la crime. Défis pour Vincent, il devra assumer en même temps la crise d’adolescence de sa fille, les états d’âme de son ex et éviter que sa sœur, flic, ne le reconnaisse alors qu’il n’est officiellement qu’un simple poseur d’alarmes…
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Pour moi, la passion pour lé vélo, le sport en général, la photo, puis le cinéma, le jardinage, le bricolage, la nature (faune, flore ...)pour mon épouse, l'équitation, les voyages, la cuisine, le cinéma, la décoration, le jardinage, la lecture, la faune, la flore etc... et chez l'humain, l'honnêteté, la sincérité, et je déteste l'hypocrisie, la sournoiserie, la fourberie...