Après entre autres : "ENTRE TERRE ET MER" voir article (http://www.veloliberte92et22.com/article-entre-terre-et-mer-serie-tv-113276783.html)
de SAINT SULIAC sollicité pour le tournage d'un nouveau film, celui de Gérard JUGNOT.
Gérard Jugnot sera dans la région (à Saint-Suliac, Saint-Jacut, Saint-Pierre de Plesguen et Saint-Malo) du 19 septembre au 21 octobre pour tourner
Saint-Suliac - Ille-et-Vilaine
13 km au sud-ouest de Saint-Malo
Saint-Suliac est un village portuaire d’un peu moins de 1 000 habitants, situé sur l’estuaire de la Rance, rivière qui rejoint la mer quelques kilomètres plus loin. Traditionnellement, une partie des habitants étaient des Terre-Neuvas, marins qui partaient de longs mois pour pêcher la morue, sur les bancs de Terre-Neuve. Organisé en amphithéâtre, le bourg est entièrement tourné vers la mer : petites rues étroites descendant vers le port, façades en granit des maisons dirigées vers l’estuaire… Vue de la terre, le village semble balancer entre paysage de campagne à l’est et paysage maritime à l’ouest. Le village a gardé ses maisons en pierres et la campagne alentour est bien préservée. Classé parmi les plus beaux villages de France depuis 1999.
D’après une idée originale d’un grand nom du cinéma français : Gérard Jugnot, de retour sur la Côte d’Emeraude après avoir tourné Meilleur Espoir Féminin à Cancale, le film qui révéla Bérénice Bejo.
Le tournage débuté dans le Var se poursuivra du 19 septembre au 21 octobre à Saint-Suliac, Saint-Jacut, Saint-Pierre de Plesguen et Saint-Malo.
Gérard Jugnot emmènera dans ses valises François Deblock, Isabelle Mergault, Gaïa Weiss ou encore Bernard Le Coq.
L’histoire : « Après avoir connu un vague succès comme pilote de rallyes dans les années 80, Loïc Le Tallec, la petite soixantaine, végète comme vendeur dans une concession automobile. Il a divorcé assez vite d’une femme qui lui a donné un fils dont il s’est très peu occupé. Quand l’adolescent disparaît brutalement au volant de sa voiture, Loïc est dévasté. Il va subir un autre choc lorsqu’il apprend que son fils a fait don de son cœur. Après une longue période d’abattement, il se met en tête de retrouver celui qui a reçu ce cadeau. La rencontre de ces drôles d’oiseaux que tout sépare va s’avérer explosive ».
C’est la maison des fées, ancienne sépulture néolithique dont la datation remontrait en 2000 av. J.-C, qu’a choisi l’acteur réalisateur pour cette scène. Dans la forêt, les techniciens répandent du brouillard artificiel. Il fait frisquet. Le pâle soleil matinal perce les feuillages et la scène prend une dimension inattendue, presque surnaturelle. Gérard Jugnot s’avance vers la sépulture, explique doucement à François Deblock, qui lui donne la réplique, comment chacun d’eux va se déplacer et poser les dialogues. « Ça serait peut-être mieux si tu sortais de la sépulture par ici en donnant ta réplique. Ensuite tu montes sur cette pierre, tu te déplaces par là et tu enchaînes le dialogue… ». François Deblock acquiesce. Une répétition, puis deux et trois. Tout semble caler, convenir. Les techniciens s’affairent. « Il y a du réseau ici, tout le monde coupe son téléphone portable », lance une assistante. « Silence ! ». Action. C’est parti pour la première prise.
Assis côte à côte sur la sépulture, la scène se termine. Gérard Jugnot lance en aparté,« Les ondes, tu les sens les ondes, ici ». Grand éclat de rire.
A un mois de la sortie de son nouveau film C’est beau la vie quand on y pense, le réalisateur Gérard Jugnot enchaîne les rencontres avec le public en Bretagne, où une bonne partie du film a été tournée. L’occasion pour l’acteur de tordre le cou à certains clichés qui collent à la peau de la région. « On a tourné en octobre, pendant un mois et demi et il a fait un temps magnifique. Il a fait beau tous les jours… Sauf le dimanche Quand on se reposait », a confié Gérard Jugnot au Télégramme.
Une grande partie du tournage s’est déroulée à l’automne dans le charmant village de pêcheurs de Saint-Suliac (Ille-et-Vilaine), niché sur les bords de Rance. Pour les besoins du film, Gérard Jugnot a donc dû faire appel à de la pluie artificielle, renforcée par traitement numérique lors du mixage. « Je voulais opposer la Méditerranée et le climat océanique plus fort », a-t-il précisé dans une interview à Ouest-France.
Un film sur le don d’organe
Dans son film C’est beau la vie quand on y pense, Gérard Jugnot interprète le rôle d’un ancien pilote de rallye vivant en Bretagne. Son fils décède dans un accident et son cœur est donné à un autre enfant (interprété par le jeune François Deblock). Un enfant que Gérard Jugnot va rencontrer, et « apprivoiser ».
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