née le 3 février 1964 à Douai
Corinne Masiero embrasse tardivement le milieu de la comédie.
Après avoir fait plusieurs petits boulots, elle met un premier pied dans le métier à 28 ans
Germinal de Claude Berri (1993), La Vie rêvée des anges d'Érick Zonca (1998),
sont ses premiers petits rôles au cinéma qui la propulsent dans un autre monde.
Une déjà belle et grande carrière, on ne peut là, citer tous les fims, téléfilms, et pièces
de théâtre où elle joue. En voici, pour les plus connus :
- 1993 : Germinal de Claude Berri
- 2003 : Famille d'accueil de Stéphane Kaminka - L'employée de la supérette
- 2004 : PJ (épisodes Mamans, Vol à la une et Infiltrations)
- 2006 : Madame la proviseure (épisode Chacun sa chance) de Philippe Bérenger
- 2006 : La Crim' (épisode Noces rouges)
- 2007 : Chez Maupassant : Histoire d'une fille de ferme de Denis Malleval
- 2008 : Versailles, le rêve d'un roi de Thierry Binisti
- 2009 : Les Petits Meurtres d'Agatha Christie (épisode La Plume empoisonnée)
- d'Éric Woreth
- 2011 - 2016 : Fais pas ci, fais pas ça (saisons 4, 5, 6, 7 et 8) de Anne Giafferi et Thierry Bizot - Solange
- 2012 : Swann d'or coup de cœur au Festival du film de Cabourg pour Louise Wimmer
- 2011 : Œil d'or de la meilleure actrice au Festival du film de Zurich pour Louise Wimmer
- 2011 : Prix d'interprétation au Festival du Film de Dieppe pour Louise Wimmer
- 2013 : Nomination aux Prix Lumières de la presse étrangère de la meilleure actrice pour Louise Wimmer.
- Césars 2013 : nomination au César de la meilleure actrice pour Louise Wimmer.
- Réalisation : Josée Dayan
- Scénario : Elsa Marpeau
- Producteurs : Josée Dayan, Gaspard de Chavagnac
- Musique : Cyril Lehn, Catherine Lara
Corinne Masiero incarne l'excentrique capitaine de gendarmerie Marleau, brute de décoffrage et adepte de l'humour noir, qui ne se sépare jamais de sa Chapka.
Comment dire ??? cette actrice que je n'appréciais guère avant, parce qu'elle avait
tué un acteur que j'adore qui se nomme Bruno Wolkowich dans la série P.J (2004 : Mamans, Vol à la une et Infiltrations) acteur principal de la série - inspecteur, puis capitaine, puis commandant Vincent Fournier (épisodes 1-101), commissaire à titre posthume (épisode 106) - (ce n'est que du cinéma certes !) mais depuis, l'ambiance de la PJ Saint-Martin était devenue si différente, qu'elle n'était évidemment plus aussi sympa à regarder. Le commandant Franck Lamougie m'énervait, c'était du genre "Le Blond" de Gad Elmaleh, et il manquait sérieusement de psychologie, une des qualité du Cdt Fournier, si l'on met de côté son charme naturel !!!
Puis la série s'est arrétée, à mon grand désespoir.
Alors qu'on ne me parle pas de Corinne Masiero, je lui en voulais !!!! (je rigole, c'est du cinéma, mais quand même,) cette actrice, je la trouvais vulgaire, avec un accent épouvantable du nord, mais en réalité elle le pousse un peu quand même.
ET BIEN, tenez vous bien, voilà que dans la série Capitaine MARLEAU, je l'ADORE, mais, je n'en oublie pas pour autant qu'elle a tué le Commandant Vincent FOURNIER.... !!! L O L !
Défauts : Elle est brute de décoffrage, style grande bringue à la grande gueule,
elle marche de travers.
Ces sarcasmes, sa vieille parka et sa chapka, ce n'est pas classe ! et sa
voiture un 4X4 qu'elle gare n'importe comme, n'inmporte où, d'ailleurs c'est
ainsi qu'elle arrive dans sa nouvelle gendarmerie !
Qualité : A un coeur d'or.
Elle possède beaucoup d'humour, est un peu foldingo.
Hyper maligne, elle mène ses enquêtes avec beaucoup de discernement,
à son rythme, à sa façon, elle surprend beaucoup son entourage, par sa façon d'être, son look, son langage.
Prolos, cocos...C'est ainsi qu'elle nomme ses partenaires des "collègues" et entreprend, dès qu'elle le peut, de réécrire ses dialogues à la manière des gens du Nord. "J'en ai marre de voir toujours le même style de personnage. On doit montrer à la télé et au cinéma des gens différents", prétend-t-elle. (article télé Star)
Mais dès le premier épisode on a aimé ce personnage, Cette gendarmette est très attachante. Dès la fin d'un épisode, j'attends avec impatience le prochain.
Donc Corinne, je te pardonne quand même, un petit peu, ce qui s'est passé dans P.J.
Corinne Masiero , 51 ans, demeure enracinée à sa région.
Elle qui a choisi de vivre à Roubaix, revendique le sang franco-italien qui coule dans ses veines, mais surtout ses origines "prolos, cocos, athées ".
Des potes qui faisaient du théâtre à Douai m'avaient demandé de filer un coup de main pour porter du matériel. La metteuse en scène organisait des trainings physiques. Je poireautais dans mon coin, elle m'a fait monter sur le plateau avec les autres pour improviser des gestes. Dès que j'ai traversé la scène, j'ai compris que c'était ma maison : plus question de redescendre ! Elle m'a proposé de jouer dans une pièce de Fassbinder, Le Bouc. Je suis allée voir des spectacles vivants pour comprendre ce que c'était de jouer, et j'ai visionné des VHS de Fassbinder en allemand non sous-titré au Goethe-Institut de Lille ! Un autre metteur en scène m'a repérée dans cette pièce. C'était parti. J'ai eu un de ces bols...
commenter cet article …